vendredi 25 octobre 2013

Les troubles du comportement alimentaire, c'est quoi ?


Souffrez-vous de troubles du comportement alimentaire ?
Il nous est tous déjà arrivé de grignoter ou de manger excessivement lors d’un repas. Mais à partir de quel moment parle-t-on véritablement de troubles du comportement alimentaire ? Du désordre passager comme le grignotage ou l’hyperphagie, à la véritable maladie comme l’anorexie ou la boulimie,  il y a différentes formes et degrés de troubles du comportement alimentaire. Quels sont-ils ? Comment détecter les premiers symptômes ? Découvrez mon enquête pour savoir si vous avez un rapport serein ou conflictuel avec l’alimentation.

Qu’est-ce que  le  comportement alimentaire ?

Le comportement alimentaire désigne l'ensemble des conduites d'un individu vis-à-vis de la consommation d'aliments. Sa principale fonction est de couvrir nos besoins nutritionnels. Il assure également notre équilibre pondéral, c’est-à-dire que l’on a un poids à peu près stable tout au long de notre vie. Ce contrôle du poids s’effectue naturellement via les sensations alimentaires : la faim  déclenche la prise alimentaire et la  satiété, la fin de la prise alimentaire. Ainsi, si l’on est attentif à ces signaux, on s’arrête de manger lorsque nos besoins sont couverts.  Mais l’acte de manger n’est pas si simple que cela  car intervient également  les notions de plaisir, de psychologie et  de  culture, ce qui complique parfois la prise alimentaire.

A partir de quel moment parle-t-on de troubles du comportement alimentaire ?

Le comportement alimentaire peut être perturbé par :
  • Les comportements de restriction
  • La volonté de minceur
  • La difficulté à faire face aux situations conflictuelles ou les difficultés psychologique
Lorsque ces facteurs prédominent pour guider la prise alimentaire, on parle alors de troubles du comportement alimentaires.

Quels sont les différents types de troubles du comportement alimentaires?

Troubles pendant le repas

L’augmentation de la prise alimentaire pendant le repas s’appelle l’hyperphagie. C’est le fait d’avoir besoin de manger de grandes quantités pendant un repas.

Les causes :
  • Une sensibilité excessive au plaisir sensoriel associé aux aliments.
  • Le fait de manger rapidement (tachyphagie) : quand on mange vite, on a tendance à ingérer de plus larges portions.
  • Ne plus savoir reconnaître les signaux  de rassasiement et de satiété. Le rassasiement correspond au moment où l'on n'a plus faim après un repas. L'organisme ressent alors un bien-être physique qui permet de sortir de table sans frustration et de tenir jusqu'au repas suivant. La satiété est l’état de non faim entre deux repas.

L’hyperphagie est souvent mal identifiée par les personnes car elle est souvent liée à l’éducation alimentaire.  Ces personnes ont toujours mangé vite donc n’ont pas conscience qu’elles mangent rapidement.

Troubles en dehors du repas

Le principal trouble vient de l’augmentation de la prise alimentaire en dehors des repas. Il y a différents degrés allant du grignotage à la vraie boulimie.
- Le grignotage
Le grignotage est caractérisé par l’ingestion répétée, quasi automatique, de petites quantités de divers aliments non spécifiques sans ressentir de faim ou d’appétit, bien que les aliments consommés soient souvent jugés agréables. Il s’agit d’un comportement “passif” où la disponibilité des aliments, facilement accessibles, joue un rôle essentiel. Il s’associe fréquemment à une sensation d’ennui. Il ne s’accompagne pas spécifiquement d’un sentiment de culpabilité. Sa quantification est souvent difficile du fait de son caractère passif, répété et automatique.
- Les compulsions alimentaires
Elles correspondent à une envie impérieuse et intense de manger suivie de culpabilité. Les  aliments consommés sont  souvent appréciés (gras et sucrés ou très salés), typiquement en réponse à une envie plutôt qu’à la faim. Les épisodes s’accompagnent initialement d’un soulagement, voire d’un plaisir, puis d’un sentiment désagréable de culpabilité. Ces épisodes surviennent fréquemment en fin de journée en rapport avec l’angoisse, la perte du contrôle social lors du retour à domicile. Les compulsions sont fréquentes chez les personnes suivant un régime restrictif.

- La boulimie

 Au cours de la crise de boulimie, le sujet ingère de grandes quantités de nourriture au-delà de toute satiété. La boulimie est diagnostiquée à partir d’une fréquence de 3 à 4 crises par semaine. La qualité gustative des aliments est généralement indifférente : c’est le fait  que l’estomac soit plein qui marque l’arrêt de la crise. Le sujet s’arrête à cause de  douleur au niveau de l’estomac ou par vomissements spontanés. Les crises n’ont lieu que lorsque la personne est seule.  En effet, le comportement boulimique est en général caché à l’entourage. Après la crise, on ressent en général de l’angoisse et  de la honte.

- Diminution de la prise alimentaire

- La restriction cognitive

La restriction dite “cognitive” se définit comme “la tendance à limiter volontairement son alimentation dans le but de perdre du poids ou de ne pas en prendre”.  Les modalités en sont variables : sauter un repas, jeûner, repas basses calories, etc.


- L’anorexie


L’anorexie se définit par l’absence de faim ou de satiété à l’heure habituelle des repas. Il faut distinguer l’anorexie « physique » qui est le manque d’appétit suite à une maladie ou une phase dépressive et l’anorexie mentale qui est le refus de manger, un dégoût pour la nourriture chez des sujets qui perçoivent les signaux de faim.

En conclusion…

Dans tous les cas,  si vous sentez que vous êtes débordé par votre comportement alimentaire, que vous ne maîtrisez plus rien, si c’est plus fort que vous, si c’est  une source de souffrance, alors n’hésitez pas à vous faire aider : seul vous n’y arriverez car ce n’est pas seulement une question de volonté. Parlez-en à votre entourage et n’hésitez pas à consulter. Une aide pluridisciplinaire  (diététicienne spécialisée dans les troubles du comportement alimentaire, psychologue…) donne de très bons résultats.
Audrey Terel

Diététicienne - Nutritionniste

Spécialiste des Conduites Alimentaires 

Cabinet Diététique et Nutrition 
15 rue des Halles 75001 Paris
221 bd Raspail 75014 Paris
36 rue Scheffer 75016 Paris
contact.dieterel@gmail.com

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On ne choisit pas son poids




Pourquoi acceptons-nous plus facilement la couleur de nos yeux, cheveux et notre taille plutôt que notre poids ? 
On s’obstine peu à faire des opérations barbares pour s’allonger les membres et mesurer quelques centimètres de plus et pourtant 70 % des femmes voire plus se sont, à un moment donné, soumises à un régime barbare, comme si le poids était une mesure maîtrisable. Si autant de femmes ont souhaité , à un moment donné, maîtriser leur poids dans le but de le diminuer, c’est peut-être que les modèles de la société actuelle ne sont pas réalistes. Ceci mène donc à une insatisfaction corporelle permanente. 

Certes, il est possible de diminuer son poids, si celui-ci est au-dessus de son poids de forme, mais vouloir descendre en dessous requiert de l’énergie et des stratégies pour lutter en permanence contre la faim. Tout ceci risque d’entraîner un stress qui, au final, donnera encore plus envie de manger. La restriction alimentaire est également difficilement réalisable sur le long terme. Elle entraîne bien souvent des troubles du comportement alimentaire (l’alimentation devient mentale et non orientée par la faim et la satiété). « Ce que je peux manger pour perdre du poids », « ce que je n’ai pas le droit de manger pour perdre du poids ».

Il y a 2 dimensions héréditaires qui sont malheureusement difficilement modifiables : la morphologie et ce que le corps brûle pour son fonctionnement (métabolisme de base). Il est donc impossible de modifier son poids de forme.
Regardez autour de vous, nous sommes toutes morphologiquement différentes et c’est normal car il y a une part héréditaire. Arrêtez-vous 10 minutes dans la rue, vous pourrez le constater. Je conçois qu’il y a là une grande part d’injustice. 

On ne peut pas changer son poids de forme mais par contre il est possible de le retrouver si l'on est au-dessus. Comment? 
En régulant ses prises alimentaires sur sa faim et sa satiété. 
Si le poids de forme ne convient pas, la marge de manœuvre que nous avons pour modifier sensiblement sa silhouette réside beaucoup plus dans le sport. En transformant la masse grasse en masse maigre, vous affinez et augmentez votre métabolisme de base. Attention, pas de confusion, le poids ne risque pas de changer car le muscle pèse plus que le gras sur la balance. Il y a de forte chance par contre que vous le ressentiez au niveau de vos vêtements.

Le vrai secret est d’accepter sa morphologie à son poids de forme car la confiance en soi n’est pas une question de chiffre sur la balance. Vous devez bien connaître des filles pulpeuses autour de vous qui rayonnent et ont du succès. Ceci prouve bien qu’il n’est pas question de morphologie mais bien d’estime de soi. Elles ont accepté leur corps, ne se tracassent pas l’esprit à compter les calories, bref elles vivent pleinement chaque moment de vie !
Audrey Terel
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Bourrelet du ventre: que faire




Des questions qui me reviennent souvent concernant le bourrelet du ventre. Voici toutes mes réponses :.

Mon ventre est plat quand je suis debout mais j’ai un bourrelet quand je m’assois, est-ce normal ?

C'est tout à fait normal en fait. Lorsque l’on s’assoit, la colonne vertébrale se tasse. Par conséquent le tronc du corps devient moins grand et les chairs se tassent. Si votre ventre est plat avec des abdos dessinés en position debout, ce n’est en aucun un « bourrelet » de gras lorsque vous êtes assise mais un « bourrelet de peau »

Cela reste un des gros complexes des femmes, notamment à la plage lorsqu’ il n’y a plus le pull pour se camoufler.

Alors mesdames je vous rassure, même votre copine la plus fine a ce mini bourrelet.

 Après avoir mangé mon ventre grossit de manière spectaculaire. Est-ce que cela signifie que je viens de stocker mon repas en gras ?

Après manger le ventre gonfle en effet de manière plus ou moins importante en fonction des personnes, prenant parfois des formes de ventre de femme enceinte. Ce phénomène est causé par la digestion des aliments. Cela n’est en aucun cas le stockage des graisses du repas ingéré. Il faut compter environ 6h pour que la digestion et l’absorption des nutriments d’un repas se fasse. Ce n’est pas immédiat après l’ingestion.

Il faut différencier les deux types de « gros » ventre.

Un ventre gonflé n’est en aucun cas dû à un stockage de gras.
Un ventre avec des bourrelets debout, plusieurs plis est signe par contre d’un dépôt de gras au niveau de cette zone.
D’autres causes peuvent expliquer un ventre gonflé. Le ventre est un peu notre deuxième cerveau. En cas de stress, de choc émotionnel ou de déprime, l’énergie se bloque au niveau des différents systèmes de l’organisme et entraînent des douleurs, des ballonnements et des problèmes de transit. Ce qui a tendance à faire gonfler le ventre sans pour autant prendre du poids.

 Complexée du ventre, est-ce que je peux perdre de manière ciblée au niveau du ventre avec un régime spécifique ?

Nous avons toutes des morphologies très différentes. Il y a une part de génétique dans la détermination de la forme de notre corps. Les sud américains auront tendance à prendre vers le bas du corps, au niveau des hanches ;  les asiatiques plutôt au niveau du ventre.

Lorsque l’on perd du poids, nous perdons de manière globale de la masse. On ne peut pas cibler d’où l’on veut perdre car notre morphologie est déterminée de manière génétique. Par contre via le sport, nous pouvons remodeler, resculpter certaines zones du corps. En sollicitant des muscles précis cela permet de redéfinir certaines zones du corps.

Typiquement pour le ventre c’est l’alliance d’activité de cardio et d’abdominaux (transverses, grand droit et grand oblique).

 Les femmes ont tendance à prendre au niveau du ventre plus qu’au niveau de la culotte de cheval

Durant toute la période de la puberté à la ménopause, de part les hormones féminines, les femmes ont tendance à prendre au niveau de la culotte de cheval. Cela est flagrant par rapport aux hommes qui prennent essentiellement au niveau du ventre.

Cela se voit également au moment de la ménopause. Avec la disparition de l’action des hormones féminines, la forme du corps change avec bien souvent un affinement du bas du corps et une prise de trois à cinq kilos au niveau du ventre.

Soyez rassurées, cette culotte de cheval est un gras protecteur, une réserve d’énergie en cas de procréation. Ne pas en avoir serait signe au contraire de carence.

Par contre, l’accumulation de graisse au niveau du ventre est néfaste pour la santé et favorise les maladies cardio-vasculaires. Une bonne hygiène de vie s’impose.

J’ai accouché il y a déjà 3 mois et mon ventre est encore flasque, est-ce normal ?

La grossesse est un sacré chamboulement pour le corps d’une  femme et je vous rassure, seules les stars entourées de leur coach, nounous et cuisiniers à domicile retrouvent leur taille de guêpe. Entre la fatigue, la nouvelle organisation, l’attention que demande votre enfant, vous ne retrouverez pas les tablettes de chocolat en sortant de la maternité. Soyez patiente, choisissez des vêtements valorisants en attendant. Une fois la rééducation du périnée achevée, vous pourrez vous atteler à des exercices plus toniques. Quoiqu'il en soit, ne faites pas violence à votre corps et prenez conseil auprès de votre gynécologue avant d'entreprendre cette remise en forme. Cependant, une sangle abdominale bien préparée avant la grossesse vous permettra de retrouver un ventre raffermi plus rapidement.

Besoin d'un accompagnement personnalisé, je reçois en consultation en cabinet.

Audrey Terel

Diététicienne - Nutritionniste

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Mes cuisses se touchent, est-ce normal ?


Question à notre diététicienne-nutritionniste Audrey Terel

J’ai décidé d’aborder dans ce nouvel article cette question si fréquemment posée par mes patientes.  Peut-être que cette crainte des cuisses qui se touchent vous a également déjà traversé l’esprit mais sans jamais avoir osé en parler.

Cette question souligne d’autres interrogations plus profondes. Quelles assurances recherchent les femmes à travers cet indicateur ?  Quelles réelles appréhensions y a-t-il derrière cette interrogation ? Voici mes pistes de réponse.

Nouvel indicateur symbole de minceur

Il ne suffit plus de détester la peau sous vos bras, votre double menton, vos poignées d’amour, vos fesses  ou vos mollets, vous devez désormais obtenir à tout prix ce que l’on appelle un «thigh gap», c'est-à-dire un espace entre vos cuisses.

Le « thigh gap » consiste à mesurer l’écart existant entre les cuisses. Le concept est très simple. Si cet écart existe, vous pouvez être rassurée, vous êtes mince et dans la tendance ! Si vos cuisses par contre se touchent, vous n’avez plus qu’à vous morfondre.

Pourquoi cette tendance est inquiétante ?

Voilà une obsession dangereuse, nous avions déjà l’IMC, le chiffre sur la balance, la taille 36 de pantalon, nous pouvons désormais ajouter, à mon grand regret, le « thigh gap ».

C’est la tendance

De nombreuses adolescentes à peine formées sont déjà adeptes. De véritables concours de « thigh gap » ont même désormais lieu sur les réseaux sociaux d’internet. S’inspirant de photos de stars ou de mannequins affichant des cuisses aussi fines que leurs poignets, certaines jeunes femmes, soucieuses de leur apparence,  n’hésitent pas à clamer leur admiration pour le « thigh gap ». Pour elles, rien de plus esthétique que des cuisses qui ne se touchent pas.

C'est inquiétant car

Ces indicateurs mesurent  un état de maigreur ou de minceur extrême plutôt préoccupant au niveau santé.
Ils donnent également l'impression que l’on pourrait maîtriser son corps à l’infini, ce qui est totalement faux. Cela reviendrait à se fixer des objectifs irréalistes par rapport au déterminisme génétique.
Pire encore, si l’on n’est pas capable de maîtriser la forme de son corps pour ressembler aux normes de beauté, nous sommes alors des personnes non estimables, involontaires et en échec.
Enfin, la malheureuse obsession « thigh gap » est surtout un nouvel indicateur de l’ère de l’obsession de soi.

Alors comment y remédier ?

C’est dans la tête

Revenons à la réalité ! Vous l’aurez deviné, le concept des cuisses qui se touchent est en fait un faux problème venant plus de la tête, de l'acceptation de son corps, qu’un réel défaut physique.

Les seules façons d’obtenir ce « tigh gap » si tendance sont :

D’être naturellement très mince (5 % de la population)
 Je vous rappelle que la moyenne de taille de pantalon des françaises est le 40 !
Avoir les cuisses qui ne se touchent pas est plus une particularité des mannequins que de la majorité des femmes.
Avoir des troubles du comportement alimentaire, s’affamer et avoir un sérieux problème d’image corporelle en mettant toute l’estime de soi sur l’apparence physique.
Avoir quatorze ans et être impubère. Il est normal une fois le système hormonal féminin mis en place pendant la puberté, que le corps change. Il passe alors d’un corps filiforme de petite fille à un corps de femme tout en rondeur.
Alors si cette insatisfaction chronique vous rend morose et surtout ne fait pas disparaître comme par enchantement la zone de conflit, la solution est bien d’arriver à prendre suffisamment confiance en vous pour oser sortir en short et en maillot de bain cet été.

Monica Bellucci, Scarlett Johansson, Laetitia Casta,  Beyonce, Jennifer Lopez… n’ont pas cet espace entre leurs cuisses et sont considérées comme les plus belles femmes de la terre.

L’activité physique

On peut avoir la cuisse ronde mais ferme, donc pour les plus combatives, il y a la solution de l'activité physique.

Une meilleure confiance en soi

Et les jours de défaillance, rappelez-vous de votre copine Caroline : silhouette en "bouteille d’Orangina", des hanches plutôt rondes et des cuisses qui se touchent. Elle était pourtant votre copine la plus complimentée !

S’il est tristement évident que l’obsession de la maigreur n’est pas prête de disparaitre, je vous pose la question: croyez-vous vraiment que ce sont trois centimètres à l’intérieur de chaque cuisse qui vont se dresser entre vous et le bonheur ?

Alors peut être qu’un jour vous aurez une vue suffisamment globale et apaisée de vous-même pour ne plus vous juger et faire l’amalgame entre deux plans opposés, le physique et la personnalité. Appréciez vous dans votre intégralité ! Oui mesdames, et si c’était cela la clef ?

Audrey Terel

Diététicienne - Nutritionniste

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